L’intérêt porté au petit patrimoine se développe. Un engouement particulier se porte sur les prises de vues photographiques des anciennes enseignes et publicités murales peintes.
Cette peinture, cette enseigne murale ? Le voisinage interrogé ne se rappelle plus à quoi elle correspondait. Amnésies collectives, ou rotation des habitants. Les empreintes s’estompent comme le souvenir. Il est encore temps de mémoriser quelques-uns de ces éléments patrimoniaux de les restaurer et, dans un premier temps, de les photographier comme sur la rive droite.
En-tête : Plus d’osier ! Vient de cesser son activité. Bordeaux-Bastide, avenue Thiers
Vingt-cinq centimes, savon compris, et avec eau chaude ! Ouvert le 31 mars 1901, ce 4ème local (Jules Perrens) de l’oeuvre bordelaise des bains-douches à bon marché comprend une douzaine de cabines. Le dernier des huit bains-douches de Bordeaux, près de la place des Quinconces, a fermé fin 2016. Bordeaux-Bastide, rue Etobon-Chênebier.
Agrégats et granulats à l’enseigne : graves-sables, roulés-concassés.
Se devine sur le seul bâti encore debout en bord de la Garonne. Bordeaux-Bastide, quai de la Souys.
Enseigne et activités perdurent, ça roule toujours. Bordeaux-Bastide, rue de la Benauge.
Labadie toujours en activité, il suffit de rajouter 05 devant le téléphone indiqué depuis novembre 1985. Rive droite, chemin de Lissandre.
Herbet, Plomberie, zinguerie en tous genres. Bordeaux-Bastide, cours Le Rouzic.
«Toujours bien indiqué, visible du Pont de Pierre, cet hôtel n’existe plus. C’est une fromagerie qui s’installe. Bordeaux-Bastide, quai Deschamps.