Publié par L’intérêt porté au petit patrimoine se développe. Un engouement particulier se porte sur les prises de vues photographiques des anciennes enseignes et publicités murales peintes, gravées ou en relief.
Du solide ces inscriptions en pierre taillée, sculptées ou gravées dans le ciment. Plus que des peintures assurément. Cependant, ces traces patrimoniales disparaissent aussi, souvent au cours des démolitions. Les photographier permet d’en garder le souvenir.
En tête : Cyprien Alfred-Duprat architecte et Edmond Tuffet sculpteur. De l’art nouveau et une touche d’art déco. Ahevée en 1926, cette Maison cantonale abritait une bibliothèque mais aussi un prétoire de justice de paix avec ses dépendances. Restaurée (2001-2007). Rue de Nuits.
L’internat c’était ici pour les plus jeunes, de un à trois ans. Rue Montméjean. 
Une entrée bien théâtrale pour ces bains douches art déco. Rue Étobon-Chênebier. 
1871 pour cette école laïque, gratuite, réservée aux filles par la commune de Bordeaux. Rue Nuyens. 
1871 encore. Il ne reste que cette date sur l’établissement secondaire. Rue Léonard Lenoir. 
Encore une école communale réservée à l’époque aux filles. Place Montaud. 
Les jeudis, pas d’école, les médecins de la crèche accueillaient les plus petits du quartier. Rue Montméjean.
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